Nous voilà donc en train de remonter par l'ouest, le long de la Mar Menor. Les noms des villes sur les panneaux sentent bon le fond de l'Espagne: Los Alcazares, San Javier, San Pedro... Le but cette fois, est d'aller voir le bout de La Manga mais en arrivant par le nord. Nous passons San Pedro del Pinatar pour arriver sur la Calle Del Puerto. Dans les marécages qui longent le chemin, des flamants roses festoient sous les rayons de cette belle fin d'après midi ensoleillée. Comme son nom l'indique la route nous mène jusqu'au port où elle s'arrête pour laisser place au parc régional de las Salinas.
Nous laissons la voiture pour explorer les alentours à pied. Quelques pêcheurs taquinent la friture sur le parapet du port tandis que la plage s'allongeant en direction de La Manga est quasiment déserte. Plantés dans le sable, quelques vieux panneaux délavés tentent d'informer le visiteur qu'il se trouve à l'entrée d'une réserve naturelle. A notre droite un restaurant laisse partir ses dernier clients de la journée. Alors que nous le contournons, la luminosité se fait plus grande. De l'autre côté, le soleil se reflète sur de larges dunes blanches et grises. Voilà la raison du pourquoi de "Las Salinas". Il est là le fameux sel que je n'ai pas su trouver dans mon Mercadona et à la place duquel j'ai pris du Bicarbonato Sodicò (A ne pas essayer sur la viande, car ce n'est pas bon)!
Maintenant, il serait temps d'acheter quelques cartes postales et de plonger quelques doigts de pied dans l'eau avant que l'astre du jour ne se fasse la malle. Après quelques photos à contre jour, pour le blog, nous rebroussons chemin et nous arrêtons sur les plages de San Pedro del Pinatar. San Pedro est une petite station balnéaire, idéale pour le troisième âge. Une longue promenade, jonchée de palmier, part du coeur de la ville et longe la Mar Menor à l'est. De chaque côté de petits escaliers en bois permettent aux fans de Fort Boyard d'aller s'affronter dans la boue dotée de toutes les vertus. Certains en remplissent des fonds de bouteilles pour se les verser dessus alors que d'autres en ramènent des sauts entiers chez eux. Ne souhaitant pas salir mon beau maillot turquoise, nous optons pour une marche pieds nus sur la plage de sable côté ouest. Les vaguelettes qui viennent mourir sur nos orteils ne nous font même pas frissonner tellement la température de l'eau est idéale. Un rare magasin de bric-à-brac expose quelques cartes postales désuètes, du genre danseuse de flamenco avec relief en tissu incrusté dans la photo. Notre choix se porte sur une vue aérienne de la Mar menor, quelques baigneurs couverts de boue et une représentation imagée des principaux lieux touristiques de la Murcie, en se demandant si on les enverra un jour où si elles ornerons à jamais nos albums souvenirs!
Nous laissons la voiture pour explorer les alentours à pied. Quelques pêcheurs taquinent la friture sur le parapet du port tandis que la plage s'allongeant en direction de La Manga est quasiment déserte. Plantés dans le sable, quelques vieux panneaux délavés tentent d'informer le visiteur qu'il se trouve à l'entrée d'une réserve naturelle. A notre droite un restaurant laisse partir ses dernier clients de la journée. Alors que nous le contournons, la luminosité se fait plus grande. De l'autre côté, le soleil se reflète sur de larges dunes blanches et grises. Voilà la raison du pourquoi de "Las Salinas". Il est là le fameux sel que je n'ai pas su trouver dans mon Mercadona et à la place duquel j'ai pris du Bicarbonato Sodicò (A ne pas essayer sur la viande, car ce n'est pas bon)!
Maintenant, il serait temps d'acheter quelques cartes postales et de plonger quelques doigts de pied dans l'eau avant que l'astre du jour ne se fasse la malle. Après quelques photos à contre jour, pour le blog, nous rebroussons chemin et nous arrêtons sur les plages de San Pedro del Pinatar. San Pedro est une petite station balnéaire, idéale pour le troisième âge. Une longue promenade, jonchée de palmier, part du coeur de la ville et longe la Mar Menor à l'est. De chaque côté de petits escaliers en bois permettent aux fans de Fort Boyard d'aller s'affronter dans la boue dotée de toutes les vertus. Certains en remplissent des fonds de bouteilles pour se les verser dessus alors que d'autres en ramènent des sauts entiers chez eux. Ne souhaitant pas salir mon beau maillot turquoise, nous optons pour une marche pieds nus sur la plage de sable côté ouest. Les vaguelettes qui viennent mourir sur nos orteils ne nous font même pas frissonner tellement la température de l'eau est idéale. Un rare magasin de bric-à-brac expose quelques cartes postales désuètes, du genre danseuse de flamenco avec relief en tissu incrusté dans la photo. Notre choix se porte sur une vue aérienne de la Mar menor, quelques baigneurs couverts de boue et une représentation imagée des principaux lieux touristiques de la Murcie, en se demandant si on les enverra un jour où si elles ornerons à jamais nos albums souvenirs!
4 commentaires:
Ma chère Marlou, je salue ton style : tu te littérairises grave, ma spanish friend !!! C'est super, continue ! A très vite et bon séjour à Madrid. Olé. Bise.
Au fait Marlou c'est qui ce "ont" dans ton post? Pas un suédois surprise j'espère! (En fait je ne suis pas contre le fait que tu passe tes soirées espagnoles avec des mecs, par contre j'exige d'en être informé dans les plus bref délais afin de faire fonctionner ma langue de p+ù**! )
Au fait il viens ce reprotage photos sur Madrid!! c'est long!
Ma très chère Marlou, je suis vraiment impatiente à l'idée de lire ton compte-rendu sur Madrid et de voir tes photos !! :+) Et tu sais qu'en ce moment, j'ai besoin qu'on me remonte le moral alors... Steuplé :+) Je t'embrasse.
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